CIME va de l’avant avec son bâtiment multiservice

CIME ­Haut-Richelieu a récemment réussi à atteindre l’objectif d’amasser 15 000 $ grâce à une campagne de sociofinancement lancée via la plateforme numérique ­La ­Ruche. Le montant participera au financement d’une partie du projet de bâtiment multiservice que l’organisme veut faire lever de terre. Présentement, ­CIME est rendu à l’étape de l’élaboration d’un appel d’offres.

Une centaine de personnes ont répondu à l’appel que ­CIME a lancé avec sa campagne de sociofinancement sur ­La ­Ruche. Grâce à cette approche, l’organisme a pu accumuler un total de 15 170 $ en dons.

Ce montant s’ajoute aux autres efforts que ­CIME a déployés afin d’atteindre la somme de 2 M$ pour pouvoir bâtir un bâtiment multiservice destiné à la clientèle et aux divers groupes qui se présentent sur le site.

Face à cette réussite et s’approchant de plus en plus de son objectif, l’organisme a récemment annoncé que les choses pourraient bouger dans un avenir pas si lointain, et qu’il prévoit aller en appel d’offres dès cet automne.

Étapes

Outre la campagne de sociofinancement sur ­La ­Ruche, ­CIME a lancé plusieurs demandes de subventions afin de rendre le projet de bâtiment multiservice réalisable.

Au fil du temps, l’organisme s’est aussi doté d’un puits artésien et il a récemment obtenu des autorisations ministérielles en ce qui a trait à la gestion des eaux potables et usées du projet.

Présentement, ­CIME est encore en attente d’une réponse pour savoir s’il aura une subvention gouvernementale provenant du ­Programme d’aide à la relance de l’industrie touristique (PARIT). Or, que ­Québec accorde ou non cette subvention, l’organisme est prêt à aller de l’avant.

Besoins

Le bâtiment multiservice que planifie construire ­CIME aura pour principales fonctions d’offrir un espace sanitaire en bonne et due forme afin que les quelque 50 000 visiteurs annuels puissent profiter d’une offre autre que les toilettes sèches actuellement présentes.

L’idée est aussi de proposer un espace où pourront se rassembler groupes ou camps de jour, et où des activités éducatives pourront avoir lieu.

À venir

Puisqu’au ­Québec l’hiver n’est pas la meilleure saison pour creuser ou pour excaver, les travaux sont prévus pour démarrer au printemps 2025.

Si tous les échéanciers sont respectés, le bâtiment pourrait être livré et accessible au grand public dès l’été de la même année.